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Les cycles d'ateliers 

Du 21 février au 18 avril 2025 

Cycle 1 : L'expression de soi du 21 février au 7 mars

Cycle 2 : L'expression de la liberté du 14 au 28 mars 

Cycle 3 : L'expression du social du 4 au 18 avril 

L'expression de soi 

Ce premier cycle des ateliers Kitaba est une invitation à explorer l’écriture de soi, qu’elle soit autobiographique ou qu’elle mêle réalité et fiction. Si la fiction ne reproduit jamais fidèlement la réalité, elle en est pourtant imprégnée et en porte les traces.

À travers différents exercices créatifs, il s’agira de fouiller en soi, d’exhumer les non-dits, d’assumer certaines vérités ou de les réinventer par l’écriture.

 

Un espace libre où chaque mot devient un pont entre l’intime et l’imaginaire, entre le vécu et sa métamorphose littéraire.

L'expression de la liberté 

Ce deuxième cycle des ateliers Kitaba propose d’explorer la notion de liberté sous toutes ses formes.

 

Liberté comme quête individuelle et collective, inscrite dans la poursuite du bonheur, mais aussi comme transgression, en rupture avec les codes établis, qu’ils soient littéraires ou sociaux.

À travers la découverte de textes engagés et d’écritures affranchies – du manifeste politique à l’élan surréaliste libéré des contraintes du classicisme –, il s’agira d’interroger, à travers les exercices créatifs, nos propres limites et de les dépasser.

 

Un espace d’expérimentation où l’écriture devient un acte d’émancipation.

L'expression du social  

Nous écrivons toujours depuis quelque part. Nos mots, nos imaginaires, nos références portent en eux des traces du monde qui nous entoure.

 

Ce troisième cycle des ateliers Kitaba propose d’explorer comment notre place dans la société influence notre écriture, non pas en cherchant à identifier les représentations du social dans nos textes, mais en réfléchissant aux connexions profondes qu’ils entretiennent avec leur environnement.

À travers des exercices d’écriture créative, nous interrogerons ces liens à la fois intertextuels et sociétaux, pour mieux comprendre comment notre langage, nos récits et nos voix se construisent en dialogue avec le monde.

©  Sarah Assidi

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